NEPITA - Pas Pareil (Clip Officiel)

Posé dans mon fer  je branche en bluetooth aux enceintes 

et je mets le clip dans les appuies-têtes

"PAS PAREIL"

Le pilote : NEPITA

C'est Le Fer' Play!

NEPITA présente à ENLIVEDUFER sa Carte Grise;

Tout en chassés croisés rap et effets de vocodeur, l’EP PAS PAREIL, chronique pleine
d’ironie d’une société paumée, évolue dans une atmosphère à la Zola, propulsée dans l’époque d’Instagram.
Avec son nouveau projet Nepita, composé avec le claviériste corse Yannick Ristorcelli,
Alexandre Diani livre son premier EP, manifeste minimaliste de morceaux choisis qui ne nécessitent aucun habillage supplémentaire pour exister.
Au rythme d’une soul chaloupée années 80, sur fond d’électro minimaliste, la musique de Nepita, évoque un tableau pointilliste. Interprète, compositeur, auteur et musicien,
Alexandre a forcé le destin en quittant son île, la Corse, à vingt ans. Ex-enseignant en littérature anglaise, il a choisi de transposer la poésie dans la musique.
Né dans le cœur de la citadelle d’Ajaccio, Alexandre Diani compose depuis l’adolescence en transformant ses coups de blues en hymnes soul fédérateurs. 

Sa guitare de l’époque, une Statocaster orange et blanche en provenance du Mexique, 

l’a accompagné au fil de ses longs voyages, qui l’ont emmené jusqu’à Paris.

Tous ont rythmé une quête, scandé un temps en musique. 

De l’Irlande à l’Angleterre, où il a vécu, en passant par la mythique Route 61 et la mer de la Guadeloupe, chaque timbre, couleur et sonorité a imprégné sa palette sonore. 

Les bluesmen et le RAP américain lui ont appris à faire vibrer les cordes du sensible. 

La French Touch et ses synthés éthérés, l’ont entraîné dans des paysages aériens. 

Au fil de ses chansons, les influences se croisent pour créer une POP INDÉ à la saveur inédite. 

Alexandre y alterne plusieurs techniques vocales, du chant mélodique aux
rimes cadencés en rap, avec un flow et un débit indéfectibles.

Alexandre Diani a son histoire à raconter, avec son rythme et ses rimes. 

Ses textes autobiographiques sont nés les uns après les autres : Trop de génies dans ma ville,
Symphonies et Pas Pareil, chanson qui donne le titre à son EP.
Le timbre susurré et empreint de soul d’Alexandre Diani rebondit sur Trop de génies
dans ma ville, parodie de mondes que tout oppose : Ajaccio-Paris, la banlieue et la province.

Symphonies, ballade en up-tempo, flotte sur un fond de basses grondantes de
sensualité. « J’ai pas l’argent, j’ai pas le cran, j’suis pas dedans », chante Alexandre Diani
en livrant le récit sans fard d’un amour idéalisé entre un provincial et une parisienne. 

La musique avance comme la BO d’un film, entre groove, funk,

 boucles hypnotiques et un texte en français d’une sincérité tranchante. 

En une poignée de minutes, les chansons d’Alexandre Diani parviennent à condenser l’histoire

 d’une ascension musicale et d’un parcours de vie hors du commun.