Les Beaux Quartiers - Voyage Au Bout De L’After (Clip officiel)

EN LIVE DU FER

Posé dans mon fer  je branche en bluetooth aux enceintes 

et je mets le clip dans les appuies-têtes

"VOYAGE AU BOUT DE L'AFTER"

Le pilote : LES BEAUX QUARTIERS

C'est Le Fer' Play!

LYRICS : 

Je vis assis sous des lustres… Crevant du mal à renaître, Hideux comme une aube à la fenêtre… Une fille me murmure que sa sœurette est mûre, Et moi je suis pas sûr de la remettre… Ses larmes ont l’air immense… Enorme à la fois le vacarme et le silence… La nuit vous désarme et les filles dansent, J’y ai laissé les charmes et les finances ! Merde !… j’ai l’âme un peu pensive Et l’œil entrouvert des poussières à la gencive… Joue ma chair à la chance, Et commence à penser l’insolence inoffensive… Des poitrines en mémoire… Un verre, un urinoir, une marée noire et mon corps y mord !... Tous on maille endoloris d’euphorie pour un clitoris dans le corridor ! M’imagine à les damner !... Les femmes Que les Arts ont saignées comme un gamay… Pupilles charnelles et belles d’ironie, Mouillant les symphonies que je composerai jamais… Je fais la planche dans du vernis !... Le monde est beau… les tours en balançoire et les ennemis… On s’allume un feu dans la poire et l’on bénit La fierté qui fait croire à son génie !... Mon rire est sincère et le poison Le dessine en Saint-Suaire à la cloison ! Dénivelle au bout des lignes comme un animal ! Mais par rapport à la Rouquine je me sens pas si mal !… Le divan l’avale et ses lèvres mièvres n’ont jamais été si enivrantes ! Beauté, tu ferais mieux de rester vivante !... Ce sera bientôt l’heure de la suivante !... Le soleil guigne… On va déculotter de la mignonne… On se reverra de l’autre côté de la ligne… Merde !... Partout ça court dans la ville !... Si tu me cherches, je suis allé finir mon verre, là-bas dans l’île… (bis) Je vague à dégueuler mon vague à l’âme… Mourir en vain !… Sourire à vingt carats… Et ses yeux Niagara sont le plus fort des Viagra… Mais l’air de rien, je suis fly comme tout !… Un malaise, un verre, un vers de Malherbe Sur une dernière première de Mahler… Et je crève au Long I, que l’on me verse ce thé !… On va la faire c’t’OD… Un plan C, un plan cul, un plancher… La seule ambition de tout faire sauter !… A l’heure où l’aurore trahit nos entailles, L’horreur aux entrailles… Repaire en stand d’tir, le coeur en stand-by… Le soleil guigne… On va déculotter de la mignonne… On se reverra de l’autre côté de la ligne… Merde !... Partout ça court dans la ville !... Si tu me cherches, je suis allé finir mon verre, là-bas dans l’île… (bis) Méchant crade que sais-je ! Théâtral ô combien !... Que m’importe le Bien, Qui jamais ne m’allège ! Un livre, un bohémien, Un sanglot sous la neige… On n’élude aucun piège !... On ne revient de rien. Je patauge à l’envie !... Je me fous de la vie… Que m’accusent les voix, Que l’on me reconnaisse… Que ma belle jeunesse Me claque entre les doigts !